Film de science fiction

réalisateur : Alex Garland

RÉSUMÉ

    Dans le film Nathan est le PDG d'une des plus grandes entreprises d'informatique du monde. Il vit isolé et profite de la fortune qu'il a acquit grâce à la réalisation d'un moteur de recherche. Son travail est de concevoir des androïdes et, il va alors tester leurs rapports à l'homme afin d'observer s'ils possèdent ou non une conscience. Pour cela, il demande à Caleb, un programmateur de son entreprise de bien vouloir se prêter au jeu en venant observer et parler pendant plusieurs jours à Ava, l'androïde la plus récente que Nathan ai conçu. Au fur et à mesure de l'histoire, Ava et le jeune protagoniste entretiennent une relation de plus en plus exclusive qui va passionner Caleb. Mais le robot reste enfermé et l'humain est en position d'analyse face au robot qui se laisse dominer par son créateur. Cette sorte de limite entre les deux personnages se défait progressivement, et la hiérarchie originel va finalement être bouleversée.

Ce film nous pose des questions d'actualité, s'interroge sur la place de l'Homme dans le monde en le mettant face à sa création : la machine.

Dans ce long métrage de science fiction, Alex Garland remet en question l'humain. Il utilise la machine comme un prétexte, comme l'objet d'étude idéal pour une réflexion en réalité humaniste. Au départ on considère l'homme comme un être supérieur, capable de créer des êtres à son image, il va se comparer à une sorte d'être divin qui construit et déconstruit un monde. Mais bientôt on va se rendre compte que la propre création humaine va le dépasser et prendre sa place. Le duo créateur/création s'inverse perpétuellement et ajoute une confusion quand à leur véritable rôle respectif. On trouve donc une comparaison évidente de la machine et de l'homme. L'homme n'est-t-il qu'une simple machine, appliquant les algorithmes de la nature ? À méditer... Et vous vous en pensez quoi ?

À bientôt

Aure

fait à l'encre de Chine

Maddy

Trois mots étranges

Quand je prononce le mot Avenir,
Sa première syllabe appartient déjà au passé.

Quand je prononce le mot Silence,
Je le détruis.

Quand je prononce le mot Rien,
Je crée une chose qui ne tiendrait dans aucun néant.

Wislawa Szymborska,

poème extrait du livre "De la mort sans exagérer",

traduit du polonais.

Le sifflement d'un fer de lance

Bien trop proche,

Et le regard perçant du guépard

Dont je sens la présence,

Transperce mon corps d'une facilité exaltante

Qui m’effraie.

Je me réjouis pourtant,

De l'improbable invisibilité

Que la nature m'offre.

Celle-ci purge ma conscience et brises mes certitudes

D'un revers de pensée obstinée.

La libération de la non-humanité du commun,

M'aide à me fondre totalement,

Dans le monde hostile qui m'emprisonne.

Devenue lui, le savoir pur de cet environnement

S'écoule sur ma mémoire.

Cette forêt m'apparaît sécurisante et excitante,

Car maintenant devenue bête sauvage,

Elle m'appartient.

Métamorphe.

Maddy

Les gestes parlent plus que les mots

Un regard suffit

Pour celui qui sait regarder

Mouvements fluides

Respiration calme

Sérénité  

Maddy

Maddy

Je ne savais pas trop où placer cet article mais je voulais absolument parler d'un formidable film documentaire :

Ce film est un film d'espoir.

Une étude aurait démontré que d'ici 2100, une partie de l’humanité disparaîtrait. Mélanie et Cyril, scandalisé par cette nouvelle, vont parcourir le monde pour trouver des solutions à cette catastrophe.

Tout au long de leur voyage, ils vont rencontrer différentes personnes qui réinventent l'agriculture, l'énergie, l'économie, la démocratie et l'éducation.

En assemblant toutes ces nouvelles initiatives positives et concrètent qui fonctionnent déjà, on peut alors voir ce que pourrait être le monde de demain...

Et vous avez en plus de la super musique de Fredrika Stahl :

Elwin

couleurs : peinture à l'eau / contour : feutres fins

Maddy

Le sommet de la montagne se dresse, seul.

La permanente absence m'apporte le calme.

Ce pic émerge telle la solitude,

De cette mer de nuages vers un autre monde.

Que cette peur de l'abandon, pareil à un vertige,

Soit surmontée par la liberté que tu offres, Ô toi ! solitude,

Et cette vue sublime,

Sans laquelle nous ne pourrions vivre.

Elwin

Je vais maintenant vous proposer une petite explication en particulier de cette phrase   "   Ce pic émerge telle la solitude,

De cette mer de nuages vers un autre monde. "

    Pour moi, la solitude, donc quand tu es seul, c'est un moment de calme et de réflexion. Quand on est seul, on est dans sa "bulle", dans son "monde". Et c'est ça que je veux dire quand je dis "émerger vers un autre monde" La réflexion nous amène vers un autre monde. Comme quand tu as grimpé une montagne et que tu arrives au sommet qui est au dessus des nuages, tu arrives dans un autre monde grâce, donc, à la solitude, au calme et au chemin que tu as parcouru en montant cette montagne !

Voilà, j'espère que vous avez compris et que ça vous a plu !

Bonne réflexion !

Bonjour bonjour tout le monde !

Ça faisait bien longtemps que je n'avait pas publié de dessin, donc me revoilà avec un petit couché de soleil sur la mer.

Maddy

Maddy

Maddy

 Ces gens que j'aime.

Ces gens que j'aime qui sont partis.

Sans prévenir, sans un adieu.

Je ne leur ai jamais dit je t'aime.

Jamais plus je n'en aurais l'occasion.

Mais j'espère que là haut, de là où ils sont, ils m'entendent.

Ils sont partis mais ils sont toujours là, au creux de ma poitrine, dans mon petit cœur.

Je vous aime.

À mon grand oncle et mon arrière grand-mère

Maddy

 À moi de dévoiler ma véritable identité !

Tadaaa !!!!!

Maddy